Samedi 16 octobre 6 16 /10 /Oct 09:46

Tante Florence

Florence est ma tante. Un week-end, mes parents l'ont invitée avec son mari pour passer quelques jours en famille. Ce samedi soir, j'ai prévu d'aller en discothèque et je décide donc de prendre une douche pour me préparer. C'est ainsi que j'entre dans la salle de bain puis me déshabille. Enfin nu, j'entre dans la douche et commence à me laver.

Quelques minutes plus tard, je m'aperçois que j'ai oublié de fermer la porte à clef. Je ferme le robinet pour sortir quand, tout à coup, je vois ma tante entrer dans la pièce. Je reste donc dans la douche, heureusement toute embuée. C'est d'ailleurs ça qui me cache opportunément à son regard.

Florence pèse environ 80 kg pour environ 1,70 mètre. Elle est vraiment ronde, mais surtout, me paraît très cochonne , vu les conversations avec son entourage, même lors des repas. Elle se met à enlever la robe qu'elle porte très serrée pour laisser apparaître un string en dentelle noir et un soutif assorti.

Mon sexe commence alors à bander et la chaleur augmente dans la douche. Elle enlève son soutien-gorge, laissant apparaître une bonne poitrine bien refaite après une opération. A ma grande surprise, elle se met alors à titiller le bout de ses seins, puis enlève son string. Je découvre une grosse chatte bien humide et rasée. Il subsiste juste une petite bande de poils sombres. Tata s'introduit alors un doigt, puis deux, puis trois et, à ma grande surprise, finit par s'enfoncer la main entière dans le sexe. A ce moment, n'y tenant plus, je me mets à me branler en regardant ma tante se fister.

Au bout d'un moment, elle regarde dans ma direction et me voit en train de me masturber. D'un geste, elle se lève et ouvre la porte de la douche. Je suis bouche bée. Elle est toute rouge de honte, confuse d'être ainsi démasquée. Je lui dis :


- Ne t'en fais pas, je ne dirais rien !

A ces mots, elle me prend la bite et démarre une lente masturbation
.
- J'ai envie de toi et de ta grosse bite !

Ces paroles ont un effet immédiat sur ma bite. Mon pénis devient énorme et elle en profite pour se le fourrer en bouche. Elle commence une superbe fellation. Elle suce comme une déesse. En remontant, elle aspire tout le long de ma verge bien tendue et bien dure tout en me massant les testicules. Sa langue fait le tour de mon gland avant d'engouffrer régulièrement le nœud gonflé. Tout à coup, elle se relève et se met à 4 pattes en me disant :

- Défonce-moi maintenant !

Je ne me fais pas prier et présente ma bite, prête à exploser, devant sa chatte trempée. Je la pénètre d'un coup et elle se met à gémir de bonheur. Mon va-et-vient s'amplifie peut à peu et les lèvres de sa chatte se gonflent sous les impacts répétés de mon vit au fond de son trou. Son gros cul bien rond laisse apparaître un petit trou qui me paraît si serré que je ne peux résister à la tentation de le forcer.

Je sors alors de sa chatte et présente ma verge à l'entrée des boyaux. Elle feint une résistance timide :

- Non, pas ça ! Ton oncle ne me l'a jamais fait !

Mais ma bite est maîtresse de la situation. Je commence à l'introduire tant bien que mal dans son trou et fini par former une belle autoroute. Elle gémit de souffrance mais me supplie de continuer. Je lui défonce donc le cul comme jamais elle ne l'aurait imaginé, surtout de la part de son neveu. Enfin, je sens le sperme monter. Serrant la base de ma verge, je la retire de son cul perforé. Tata Florence se retourne et me lèche la queue quelques secondes, le temps pour moi de gicler au fond de sa gorge. Cette vicieuse avale tout.

Elle se rhabille et je peux enfin prendre ma douche tranquillement. Depuis ce jour, à chaque fois qu'elle vient, je la sodomise. Je crois bien que je suis toujours le seul à utiliser son cul de la sorte.toulouse1.jpg

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Vendredi 13 août 5 13 /08 /Août 00:58

Elle se glisse sous la douche, oubliant tout, se laissant bercer par les jets qui fouettent délicatement sa peau. Un rempart s'est formé avec l'eau qui coule le long de son corps. Emportée par les effluves du savon, dans un monde parallèle, où l'angoisse n'existe pas, où les soucis s’effacent.
Son enveloppe charnelle lisse et douce ressent le doux savon telle une caresse. Elle frissonne alors, ferme les yeux, mordille ses lèvres gonflées de désir… Sous ce flot, elle apprend à découvrir son corps, à se laisser guider par ses pulsions.
Sa main semble vouloir découvrir les courbes de son corps… Pourtant, elle doute alors de sa capacité à séduire. Les tracas la submergent à nouveau, elle décide de quitter le doux cocon qu’elle s’était créé pour revenir à la réalité.
Apercevant son image dans le miroir, le petit bout de femme s’examine et commence à s’analyser intérieurement, elle se demande alors qui est cette femme … Elle ne cherche pas à observer ses imperfections physiques mais voir, comprendre à travers le reflet, ce qu’il y a au fond d’elle-même.
Cette femme est pleine de désir, son corps réclame l’acte sexuel, son sexe à besoin de se nourrir, telle une bête affamée. Elle qui travaille dans un milieu d’hommes, elle les connaît trop et redoute la déception.
Personne ne peut la satisfaire, elle se persuade de cela.
Ses pensées se mélangent, elle perd le nord et décide de se coucher afin de ne pas se torturer un peu plus, comme tous les soirs, depuis près de quatre mois de solitude.

Auprès de Morphée, ses pensées sont désormais maitresses de son corps. Elle ne peut lutter contre ses désirs inavoués. Faire l’amour avec un inconnu qu’elle avait vu l’espace d’une seconde dans la rue, son médecin qui la dévore des yeux, un banquier qui glousse de timidité en la voyant… non…
C’est lui, l’homme qu’elle a rencontré sur le chantier… monsieur S… S pour son prénom mais surtout s comme sexe, s comme sensualité. Soupir, salive, frissons, succions tous les mots en s ou contenant un s emplissent son esprit… Elle le veut, au fond d’elle, elle veut qu’il comble dans un râle de plaisir le vide qui est en elle… sa main, son souffle, tel un poème qui se forme mot à mot dans son esPhoto-20006.jpgprit.
La sonnerie ingrate du réveil retentit. Elle tâte sa table de nuit afin de trouver la machine infernale qui l’a tirée du doux pays des songes. Elle décide alors de se donner une vingtaine de minutes de plus à rester dans son cocon chaleureux. Elle glisse alors sa main entre ses cuisses et s’aperçoit que son sexe est trempé de désir… Avec une légère pression elle commence à se caresser...

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Vendredi 13 août 5 13 /08 /Août 00:42

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Elle commence à ouvrir doucement ses paupières encore engourdies par le sommeil d’une nuit calme. Elle sent la présence à ses côtés de l’homme qu’elle aime. Il commence lui aussi à bouger légèrement dans le lit, s’extrayant d’une nuit douce.
Elle sait l’heure qu’il est sans même regarder le réveil.
Subrepticement, par une légère rotation, elle tourne son corps vers lui. Il la sent plus que jamais vivante. Elle attend qu’il l’enlace comme il le fait souvent au réveil, naturellement, sans précipitation, la berçant dans ses bras comme l’enfant qu’elle est et l’embrassant.
Mais aujourd’hui, en silence, il lui prend la main droite et la pose sur son sexe durci.
Elle est, comme toujours, merveilleusement étonnée et ravie de ce miracle de la nature humaine. Comme il est dur son homme ce matin ! Comme il la désire intensément !

Elle ne peut s’empêcher de penser dans son for intérieur au dicton sur les araignées, mais elle change le mot dans sa tête. « Erection du matin, Chagrin ». Hum, cela ne lui plait guère. Alors, attendons donc de voir car « Erection du soir, Espoir ». En fait, c’est tout vu, se dit-elle. « Erection tout court, Amour ».Oui, c’est cela. Il l’aime, a envie d’elle et le lui montre. Pas d’autre envie que cela…Pour s’en assurer, elle appuie en grande connaisseuse, à l’endroit précis de sa vessie. Pas de réaction. C’est comme un soulagement. Pas de triche. Ce n’est que pour elle, rien que pour elle.

Il est fier de son sexe bandé pour cette femme, « sa femme », « sa femelle ». Sa main est toujours sur sa verge tendue comme un arc immense. Elle la caresse tout le long. Elle est chaude. C’est du velours. Elle ne s’en lasse pas. Lui non plus. Son désir la fait vivre au delà de toute espérance.
Et après quelques minutes de caresses incessantes, elle enlève enfin sa main pour aller avec lui vers d’autres contrées qui n’appartiennent qu’à eux….qu’elle ne dévoilera pas ici-bas.

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